Re: [FSFLA-Traductores] boletín 1 de junio en español
John Lejeune
nightlybuild en gmail.com
Jue Jun 1 12:59:22 UTC 2006
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Hojala que no sea demasiado tarde para la "dead line" del 1 de junio. He
echo una (re)lectura del bueno trabajo hecho por Horacio, como todo bueno
Frances nativo que soy. Algunas cositas en cuento al futuro glossario :
Operating System se traduce por « Système d'exploitation ». Utilisamos « » y
no " " como el Inglés lo usa. Me parece una buena idea trabajar asi: Horacio
y Beatriz traduciendo como lo hacen hoy y yo para la revista final (acentos,
punctuacion, etc.) y el desarollo del glossario. ¿ Que les parece ?. Hasta
prontissimo.
En cuento al articulo de la revista Veja, he traducido "presentando la
creación de empleos
locales en reemplazo del giro de regalÃas al exterior en concepto de
licencias como algo malo,..." con la idea de *utilisacion personal* para la
palabra "empleo locales", y non con el sentido de *trabajo aqui*. ¿ Eso es
la idea del autor, parece ?
John Lejeune (jid: nightlybuild en jabber.rhizomes.org y por irc @
irc.freenode.net).
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Le « L » dans LUG signifie « Logiciel Libre ».
A l'époque où ce qui deviendra un groupe d' usagers de Logiciels
Libres cherchait un nom, c'est tout naturellement que surgit « COLIBRI
--
Communauté d'Usagers de Logiciels Libres en Colombie ». Ils étaient
conscient que ces sigles ne correspondaient pas réellement au nom du groupe,
mais c'est probablement parce que le mot était trop beau qu'il ne pouvait
être sacrifié au besoin d'une signification réelle.
Au moment de leur fondation, tous les groupes n'eurent pas la fortune
ou la perspicacité de COLIBRI; ils furent créés par des personnes
épatées par une merveilleuse découverte: des logiciels avec lesquels
ils
pouvaient étudier, qu'ils pouvaient transformer à volonté, partager
avec les amis, et surtout dont ils pouvaient se servir sans devoir se
soumettre aux conditions restrictives imposées unilatéralement par son
auteur. Beaucoup d'entre eux connurent ces logiciels au moyen d'un
système d'exploitation qui
ressemblait à Unix, et que beaucoup connaissaient sous le nom de «
Linux ». Ainsi quand ils furent prêts à le
présenter au monde, ils le firent sous la forme d'
un « Linux Users Group » ( « Groupe d'Utilisateurs de Linux » ), ou
LUG.
C'est seulement après s'être familiarisés avec
la philosophie et l'histoire du Logiciel Libre que beaucoup des LUGs se
rendirent
compte de l'importance du projet GNU. Quelques uns d'entre eux
regrettèrent leur
décision originale au point de changer leurs noms. D'autres
changèrent la signification
des sigles (le LUGMen, de Mendoza Argentina, est devenu « LUGMen Usa
GNU/Linux en Mendoza -- LUGMen utilise GNU/Linux à Mendoza »,
reflétant ainsi la récursivité de GNU). D'autres
changèrent pour un nom qui ne correspondait pas à ces sigles (Le LUGRo
de Rosario Argentina est devenu
le « Groupe d'Utilisateurs de GNU/Linux de Rosario ». D'autres n'ont
pas vu
la nécessité de se déranger à ce sujet.
De plus en plus de LUGs commencent à se rendre compte que la simple
utilisation
de « Linux » n'est pas correcte, que la mise en valeur de GNU/Linux
n'est pas suffisante, et que
rien d'autre que le terme « Logiciel Libre » ne peut l'être. Ceci
découle de trois remarques qui sont devenues inévitables:
* les propos des LUGs sont beaucoup plus amples que celui de Linux, et
même
plus que GNU/Linux. Demander de l'aide sur un système BSD dans une
liste de diffusion d'un LUG n'est pas
interprété comme étant hors sujet, et l'on accepte même des systèmes
de type Unix qui ne sont pas libres,
tel que l' AIX. Solaris est également hors sujet, mais OpenSolaris ne
l'est pas. D'un point de
vue technique, ces systèmes d'exploitation ont tellement de points
communs que tout cela n'a pas d'importance pour le propos du LUG.
Ceci montre clairement que c'est la liberté et non les aspects
techniques qui donne sa pertinence au logiciel dans le travail d'un
LUG.
* une grande partie du travail des LUGs est d'informer les gens sur
les logiciels libres. S'ils le font en tenant uniquement compte de «
Linux »,
non seulement ils détournent leur attention des problèmes importants,
mais en plus ils mettent en danger
une partie de leur travail. Comme n'importe quel autre logiciel libre,
le noyau de Linux ne restera pas éternellement parmi nous:
il pourrait devenir obsolète, ou une plainte judiciaire pourrait
aboutir
et nous limiter son usage. Ce serait un coup dur pour le Logiciel
Libre, sans être cependant
une catastrophe: il y a d' autres noyaux libres, et Linux pourrait être
remplacé sans trop d'efforts. Cependant, l'effet sur la communication auprès
du grand publique serait plus important, car si les LUGs disent aux gens «
Linux est bon
pour toi », et que, soudainement, Linux n'est plus là , ils devront
refaire toute la communication.
* le propos des LUGs n'est pas limité aux systèmes d'exploitation ou au
projet GNU.
Des questions à propos de l'usage des Logiciels Libres non-GNU, comme
OpenOffice.org ou Mozilla sur des systèmes d'exploitation propriétaires
sont
bienvenues, et les LUGs aident souvent les gens à s'orienter parmis les
Logiciels Libres en installant ces logiciels sur le
système d'exploitation que les usagers ont déjà installés sur leurs
machines.
Les LUGs d'Amérique Latine commencent à s'apercevoir de ce fait et
changent leurs noms et leurs façons de communiquer.
FSFLA réponds à la Revue Veja (Brésil)
La revue Veja (Brésil) a publiée un article intitulé « La gratuité est
devenue plus chère- Le choix de Lula pour le Logiciel Libre retarde le
Pays ».
La FSFLA, représentée par son secrétaire, Alexande Oliva, a répondu Ã
cet
article en soulignant quelques erreurs:
À mon avis, critiquer les attitudes positives du gouvernement n'est pas
sage, même si l'on prétend faire de l'opposition. Par exemple,
l'adoption des
Logiciels Libres a été présentée dans l'édition nº 1956 (17/5/2006)
comme étendard du parti, malgré la convergence des initiatives, autant
de gauche que de droite. La recherche de la souveraineté,
l'indépendance
et le développement technologique et économique du pays devraient être
Ã
l'écart de la politique. Il ne faut donc pas se limiter à l'acceptation
du rôle passif
des consommateurs de logiciel.
C'est un fait avéré que notre initiative n'a pas eue le même succès que
dans
d'autres pays.
Erreurs d'administration mise à part, ce sont la corruption et
l'impunité
qui contribuent négativement et ouvrent la porte aux lobbies des
logiciels propriétaires qui poursuivent la préservation de ces
monopoles.
En écoutant seulement les arguments en faveur des monopoles, en
confondant la liberté avec la gratuité et en
présentant la création d'utilisations locales comme alternative à la
tournure régalienne données par les licences comme quelque chose de mauvais;
la revue met en jeu sa crédibilité, surtout si
on tient compte des tromperies publicitaires dans les médias, au
travers
d' annonces et d' « épreuves » financées par les annonceurs et
sponsors de ces
mêmes revues ou journaux.
Ci dessous quelques liens contenants plus d'informations, et qui
réfutent plus en détails la position que la revue Veja a prise sur ce sujet.
http://www.iti.br/twiki/bin/view/Main/PressRelease2006May18A
http://www.cipsga.org.br/article.php?sid=7919&mode=thread&order=0
http://webinsider.uol.com.br/vernoticia.php/Veja__Lula____e_o_software_livre/id/2831
http://falcon-dark.blogspot.com/2006/05/para-o-pblico-e-o-privado-sem.html
http://twiki.softwarelivre.org/bin/view/Blogs/BlogPostView?post=BlogPostMarceloBranco20060518102019
http://listas.softwarelivre.org/pipermail/psl-brasil/2006-May/012283.html
Alexandre Oliva
Secrétaire de la Fondation pour le Logiciel Libre en Amérique Latine.
GPLv3
La Fondation pour le Logiciel Libre continue à fédérer le processus
d'actualisation
et de commentaire de la licence GPL dans sa version 3. La troisième
conférence du cycle
annuel de consultation publique aura lieu à Barcelone, Espagne, les 22
et 23 Juin.
Pour cet événement, M. Richard M. Stallman, fondateur et Président de la
Free Software Foundation (Fondation pour le Logiciel Libre) a confirmé
sa présence, ainsi que
M. Eben Mogle, Président du Software Freedom Law Center (Centre pour la
Législation de la Liberté des Logiciels)
et conseiller légal de la FSF et M. George Greve, Président de la FSF
Europe. Pour représenter la FSFLA,
M. Federico Jeinz sera là -bas et nous tiendra informé de l'événement
pendant ces deux jours.
Pareillement à celle qui s'est déroulée au Brésil il y a quelques mois,
la troisième conférence GPLv3 comptera sur des exposants experts venus
d'Europe et du monde entiers lors des séances où ils discuteront de
l'application internationale de la licence, des problèmes liés aux DRMs et
patentes de logiciels, de l'adoption de la licence par des projets et
développeurs de Logiciels Libres.
On peut trouver plus d'information au sujet de cet événement sur le site
de notre organisation soeur, la FSFE, en suivant le lien
http://fsfeurope.org/projects/gplv3/europe-gplv3-conference.
Travail en cours.
L'équipe de traducteurs de FSFLA est en train de traduire différents
documents.
À l'heure actuelle, on travaille à la version Espagnole du discours
que Richard M. Stallman a donné à propos de
l'événement GPLv3, lors de la Deuxième Conférence Internationale qui a
eu lieu à Porto Alegre, Brésil.
Le brouillon du document peux se trouver sur notre wiki, disponible Ã
l'adresse http://wiki.fsfla.org/wiki/index.php/FISL_RMS.
Vous êtes invité(e)s à collaborer à cette traduction, parmi d'autre.
Pour ce faire, une liste de diffusion [traductores] est disponible, où
l'on peut réviser le travail quotidien et s'inscrire:
http://www.fsfla.org/cgi-bin/mailman/listinfo/traductores.
Quelques discussions intéressantes à propos de la législation et de
l'utilisation des Logiciels Libres dans l'Administration Publique ont lieues
sur la liste [legales]. Un des sujets centraux que l'on y discute
actuellement concerne la loi sur le Logiciel Libre de Rio Grande do Sul et
la controverse à propos de sa constitution.
Il existe des archives publiques et une invitation à contribuer à la
discussion sur cette liste:
http://www.fsfla.org/cgi-bin/mailman/listinfo/legales.
Événements
Fin avril, Federico Heinz est allé à Dublin, Irlande, pour travailler
avec ses
collègues de notre organisation soeur la FSF Europe et ceux de la Irish
Free Sofware Organization (IFSO - Organisation pour le Logiciel Libre en
Irlande). Les enregistrements audio de la conférence sur le Logiciel Libre
dans l'Éducation et l' Administration Publique peuvent se trouver en ligne
sur le site de l'IFSO: http://ifso.ie/events/2006-04-29/index.html
Participation de la FSFLA au Forum Mondial de l'Éducation.
La FSFLA a adhérée au projet Gleducar lors de sa présentation au Forum
Mondial de L'Éducation, qui a eu lieu à Buenos Aires, les 4,5 et 6 mai.
Beatris Busaniche, au nom de FSFLA, a épaulée la présentation de Gleaducar,
effectuée par Carlos Toledo, Roman Gelbort, Franco Iacomella et Bibiana
Bocolini. Gleducar et la FSFLA ont présentés conjointement les principes du
Logiciel Libre, les principales lignes de travail pour l'utilisation des
Logiciels Libres dans les écoles. Gleducar a mis en relief le concept de
Construction Coopérative des connaissances qui est la base du travail
pédagogique de ce projet éducatif. Pour plus d'informations et pour un
compte rendu du Forum Mondial de l Éducation, suivre le lien:
http://wiki.gleducar.org.ar/wiki/index.php/Foro_Mundial_de_Educaci%C3%
B3n_2006
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